Parmi les explosions qui ont secoue la vie de l'ingénieur suédois Alfred Bernhardt NOBEL, celle ayant souligne sa décision 'de créer le Prix de la Paix qui porte son nom, fût sans doute la plus détonante. Avait-il été pris d'une espèce de remords d'avoir inventé la dynamite? Se sentait-il écrasé par les centaines de milliers de corps démembrés qui reposaient sur et dans la terre après qu'il ait perfectionné la poudre à tuer, les bâtons de la mort? Quoiqu'il en soit. il n'a pas hésité jouer du paradoxe pour qu'une des armes les plus cruelles de la guerre, devienne un moyen de célébrer la paix. Mais ce qui est encore plus paradoxal est que la colombe ait été, à plusieurs reprises, remise entre les mains de personnages de l’histoire contemporaine, n'ayant jamais hésité à manipuler la fameuse dynamite sous toutes ses formes?
Ces rois de la bombe à retardement, sans oublier le plastic, la mitraillette,le M16 et la grenade fragmentée. Voyez Menachem Begin, Yasser Arafat, le Général ITZACH Rabin, Henry Kissinger etc., etc. Aucun d'eux n'a jamais hésite à employer soit directement, soit par décision politique, les divers projectiles et pièges explosifs qui causent les "pertes collatérales" c'est à dire, la mort des civils femmes et enfants. Ces militaires, ministres, conseillers de présidents et chefs d’Etats, étaient-ils également pleins de remords en recevant leurs diplômes et médailles ? Beaucoup en doutent car ce serait un double paradoxe puisque l'on sait que certains d'entre eux, voulaient, bien sûr, faire la guerre pour obtenir la paix mais que quelques-uns, faisaient semblant d'espérer la paix dans le but de créer des guerres. De toutes façons il serait bon que tous les savants soient obligés désormais de glisser un antidote dans chacune de leurs inventions. Par exemple: un ordinateur traitement de textes qui supprimerait le mal de crane de celui qui l'emploie.
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